La “politique fondée sur les preuves” gagne rapidement du terrain. Les choix politiques fondés sur des données correctes, étayées par des connaissances scientifiques, ne peuvent qu’être plus forts. La Commission européenne s’est rendu compte, au cours de la période Covid, qu’elle permet de prendre ses décisions plus rapidement et plus correctement. La ministre Petra De Sutter est également favorable à une “politique fondée sur des preuves”. Sa note de politique générale est donc claire : “Pour faire des choix politiques judicieux dans tout cela, nous nous baserons toujours sur des connaissances et des données scientifiques et appliquerons donc les principes de la ‘politique fondée sur les preuves’.” A tous les niveaux sur la comptabilité et le budget et, d’autre part, sur l’environnement RH au sens large, rendre les données plus facilement disponibles, y compris en tant que données ouvertes dans la mesure où il s’agit de données qui ne sont pas de nature personnelle. Il s’agit d’un levier important pour une meilleure préparation des politiques (élaboration de politiques fondées sur des preuves) et garantit une plus grande transparence du gouvernement vis-à-vis des citoyens. Les gouvernements fédéraux, régionaux et locaux suivent tous ces possibilités avec suspicion.